Un auxiliaire sans défense. Vraiment ?
L'accusé plaide la "décompensation psychotique". Il dit ne pas se reconnaître sur les images. Il veut rester libre. Il veut suivre des soins. Il veut préserver son emploi.
Mais qui l'a embauché ? Comment un homme instable, non soigné, a pu entrer dans la vie d'un jeune garçon vulnérable, jour après jour, sans alerte, sans contrôle ?
C'est tout un système qui vacille. Celui de l'aide à domicile, sous-payée, sous-formée, sous-contrôlée.
Où les sociétés encaissent, les employé·es s'épuisent, et les bénéficiaires trinquent. Ou reçoivent les coups.