Trachel s’anime au rythme de la création artistique
Le quartier de Trachel a vibré cet été, porté par une série de projets artistiques qui ont réuni habitants, passants et artistes autour de moments de partage et de création collective. Danse, musique et poésie se sont invités dans la vie du quartier, offrant un souffle de dynamisme et de convivialité accessible à toutes et tous.
La Compagnie Biagini : identité et restitution collective
Le quartier de Trachel a vibré cet été, porté par une série de projets artistiques qui ont réuni habitants, passants et artistes autour de moments de partage et de création collective. Danse, musique et poésie se sont invités dans la vie du quartier, offrant un souffle de dynamisme et de convivialité accessible à toutes et tous.
Animés par les danseuses Jessica Guelton-Isoardi, Martina DiGiovanni, Aurélia Zabal et la chorégraphe Angélina Lainé, ces ateliers se sont achevés par une restitution marquée par une forte implication des participants et l’émotion partagée avec le public.
ACA Cie : la rue transformée en scène vivante
En août, la Trésorerie a confié à ACA Cie l’organisation d’ateliers en plein air, dans le quartier de Trachel. Avec Marina Matic, danseuse et pédagogue, et Grégory Oriol, musicien percussionniste et professeur au Conservatoire de Vence, danse et musique se sont mêlées aux récits et aux sons du quartier.
Improvisation et spontanéité étaient au cœur du projet. L’énergie a gagné la rue : les habitants sont sortis, certains pour danser, d’autres pour regarder. Des applaudissements ont même résonné aux fenêtres, témoignant d’un véritable engouement collectif.
La poésie comme prolongement
En parallèle, un atelier poésie a été mené à la Trésorerie par le poète niçois Tristan Blumel. Il a accompagné les enfants dans l’écriture et l’expression poétique, retranscrivant ce travail qui a permis de donner voix à leur imaginaire et à leur vécu.
Un quartier en effervescence
Ces différents projets artistiques ont transformé Trachel en un espace de rencontres et de créations partagées. Les habitants se sont rassemblés, les passants se sont arrêtés, et chacun a trouvé sa place dans cette expérience collective. Le quartier s’est animé, prouvant que la culture, lorsqu’elle s’invite au plus près de la vie quotidienne, peut devenir un véritable moteur de lien social.
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